Au niveau de l'in-vitro j ai un projet de grande envergure en cour avec 2 personnes non-Dionée (non inscrit pour cette année 2003). Il devrais être possible de distribuer d'ici mi 2004 les premières plantes en milieux stériles. Quand je dis les premières plantes ce sera 2 ou 3 espèces pour le première année le temps que mon labo soit totalement fini (fin 2003 - 2004).
Ne rêvez pas non plus, N Rajah c est pas pour tout de suite
Etant également grainetier de Dionée et afin d'éviter toutes polémiques inutiles, je précise que les graines qui sont utilisées pour ce projet viennent des mes productions personnelles ou de Carnibank. En aucun cas je n utilise celles de la bourse de graines de Dionée
On se heurte encore à un certain nombre de problèmes et non des moindres : le transport
La plupart des labos qui proposent ce type de produits rencontrent déjà des difficultés importantes à ce niveau. Nous avons cependant trouvé une solution pour les récipients au niveau résistance et étanchéité, mais pas au niveau du coût et risques de chocs (obtenir un mix lors de la réception du colis). Des essais sont en cours pour durcir la gélose sans altérer la pousse des plantes, mais il n'empêche qu'en cas de chocs, elles sortent de la gélose.
News à venir dans quelques mois.
Bientot une bourse in-vitro !
- le grand lapin
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hello,
j'aimerais juste préciser une chose, pour également couper court à toute rumeur éventuelle :
Jessclub cultive des plantes carnivores depuis 20 ans, il a donc un certain nombre de plantes....et ces plantes donnent des graines....et ces graines, il les a échangées avec CARNIBANK...ok ?
donc, ce qu'il fait avec les graines de sa production personnelle ou qu'il a obtenues autre-part (par exemple via CARNIBANK) ne regarde que lui....et ne regardent pas CARNIBANK...
voilà...
le grand lapin
j'aimerais juste préciser une chose, pour également couper court à toute rumeur éventuelle :
Jessclub cultive des plantes carnivores depuis 20 ans, il a donc un certain nombre de plantes....et ces plantes donnent des graines....et ces graines, il les a échangées avec CARNIBANK...ok ?
donc, ce qu'il fait avec les graines de sa production personnelle ou qu'il a obtenues autre-part (par exemple via CARNIBANK) ne regarde que lui....et ne regardent pas CARNIBANK...
voilà...
le grand lapin
Certes !
Merci grand Lapin, c'est vrai que mon premier post pouvait être interprété
Le responsable de Carnibank n'aurait certainement pas non plus apprécié ce genre de sous entendus
Le responsable de Carnibank n'aurait certainement pas non plus apprécié ce genre de sous entendus
Faites vos propositions
He, Hé, je vois que certains s'intéressent au projet
Pour le moment au niveau des modalités de fonctionnement rien n'est défini.
Je vous demande donc de donner ici vos propositions, nous essayerons de mettre sur pied un fonctionnement qui soit le plus proche de l'avis majoritaire
Pour le moment au niveau des modalités de fonctionnement rien n'est défini.
Je vous demande donc de donner ici vos propositions, nous essayerons de mettre sur pied un fonctionnement qui soit le plus proche de l'avis majoritaire
OK, alors quelques conseils et idées en vrac:
- faîtes des milieux simples: ne vous embêtez pas avec des hormones et autres vitamines qui sont plus délicates et plus cher. Celles-ci ne vous font gagner que du temps, mais cette petite entreprise que vous montez là étant me semble-il à but non-lucratif, ce gain de temps importe peu.
- j'ai parfois reçu des vitro-plantes qui étaient sorties de leur gélose. mais ça ne m'a jamais posé trop de problème.
- pour un peu rendre l'in-vitro plus commun, vous pourriez distribuer aussi du matériel de base comme des milieux en poudre? cela permettrait au "client" de directement transplanter sa plante, surtout si elle est sortie du flacon.
- pour le côté pécunier: je parlais de trois système. Le système comme carnibank ne me paraît pas bon ici: trop de risque d'infection, de risque que la plante ne soit pas ce qu'elle dit être et trop de frais de ports. Par contre, les deux autres idées, ça serait sympa de les mélanger. Par exemple une cotisation annuelle qui finance les frais d'entretient, de milieux, de main d'oeuvre etc. et payer un supplément chaque fois que l'on commande une plante, ce qui financera les frais de ports et le flacon que l'on reçoit avec.
- vous y auriez sans doute déjà pensé, mais ne faîtes cette banque que pour les plantes rares ou menacées...
- idem: distribuez vos plantes en tubes à essai, plus petit. les frais de ports chez CEDEVIT sont à mon avis si importants car les flacons sont super gros.
- faîtes les choses dans des proportion moyennes:par exemple commande minimum de x flacons pour les frais de ports.
- utilisez des tubes en plastiques, moins fragiles pour le transport.
- prenez des disposition légales. l'in-vitro peut causer certains problèmes, car on travail avec des produits chimiques, inflammables, avec du feu etc. précisez-bien un truc genre "nous délinons toute reponsabilité" et si des mineurs veullent des souches, demandez un accord parental avec copie de pièce d'identité etc. ça peut paraître superficiel, mais s'il arrive quelque chose, vous risquez gros.
- rédigez un petit texte explicant comment procéder, à la limite en reprenant le bulletin Dionée.
bon... un très beau projet en perspective!
- faîtes des milieux simples: ne vous embêtez pas avec des hormones et autres vitamines qui sont plus délicates et plus cher. Celles-ci ne vous font gagner que du temps, mais cette petite entreprise que vous montez là étant me semble-il à but non-lucratif, ce gain de temps importe peu.
- j'ai parfois reçu des vitro-plantes qui étaient sorties de leur gélose. mais ça ne m'a jamais posé trop de problème.
- pour un peu rendre l'in-vitro plus commun, vous pourriez distribuer aussi du matériel de base comme des milieux en poudre? cela permettrait au "client" de directement transplanter sa plante, surtout si elle est sortie du flacon.
- pour le côté pécunier: je parlais de trois système. Le système comme carnibank ne me paraît pas bon ici: trop de risque d'infection, de risque que la plante ne soit pas ce qu'elle dit être et trop de frais de ports. Par contre, les deux autres idées, ça serait sympa de les mélanger. Par exemple une cotisation annuelle qui finance les frais d'entretient, de milieux, de main d'oeuvre etc. et payer un supplément chaque fois que l'on commande une plante, ce qui financera les frais de ports et le flacon que l'on reçoit avec.
- vous y auriez sans doute déjà pensé, mais ne faîtes cette banque que pour les plantes rares ou menacées...
- idem: distribuez vos plantes en tubes à essai, plus petit. les frais de ports chez CEDEVIT sont à mon avis si importants car les flacons sont super gros.
- faîtes les choses dans des proportion moyennes:par exemple commande minimum de x flacons pour les frais de ports.
- utilisez des tubes en plastiques, moins fragiles pour le transport.
- prenez des disposition légales. l'in-vitro peut causer certains problèmes, car on travail avec des produits chimiques, inflammables, avec du feu etc. précisez-bien un truc genre "nous délinons toute reponsabilité" et si des mineurs veullent des souches, demandez un accord parental avec copie de pièce d'identité etc. ça peut paraître superficiel, mais s'il arrive quelque chose, vous risquez gros.
- rédigez un petit texte explicant comment procéder, à la limite en reprenant le bulletin Dionée.
bon... un très beau projet en perspective!
Oui et non. Distribuer du petit matéril comme des scalpel, des flacons etc est une mauvaise idée selon moi.
Par contre, distibuer des milieux en poudre, de l'acide gibbérelique ou de l'hypochlorite de calcium peut être bien, car souvent on ne le trouve qu'à des prix très importants ou alors on ne les trouve simplement pas, car les firmes qui en vendent n'en vendent qu'aux labos.
De plus, les quantitées vendues sont importantes, ce qui signifie avoir une balance précise pour pouvoir faire les dosages, ce qui est très cher.
Par contre, distibuer des milieux en poudre, de l'acide gibbérelique ou de l'hypochlorite de calcium peut être bien, car souvent on ne le trouve qu'à des prix très importants ou alors on ne les trouve simplement pas, car les firmes qui en vendent n'en vendent qu'aux labos.
De plus, les quantitées vendues sont importantes, ce qui signifie avoir une balance précise pour pouvoir faire les dosages, ce qui est très cher.