+1 bien entendueclipse a écrit :sans compter les apports des autres composants de la cellule 'mère' je pense notamment à tout ce qui gravite autour des mitochondries.
Je n'ai malheureusement pas de publi en tête, mais d'après une conf. de D. Grimanelli à laquelle j'ai récement assisté l'épigénome est beaucoup plus concervé qu'on le croit... (Je sais il n'y a aucun argument dans cette phrase ni aucune données précise mais je le crois ;) ). Mais je maintient que l'épigénome n'a pas particulièrement sa responsabilité dans le sujet même de ce post.kisscool-38 a écrit :Il y a toujours matière à débattre, c'est le principe de la scienceJardimanche a écrit :Moi qui pensais qu'il n'y avait pas matière à débatre... lol
Je n'ai plus le chiffre exact en tête mais je crois que la mise en place de l'épigénétique dans l'embryon ne doit pas excéder 25% de celle d'un adulte (chiffre pour l'homme du moins mais ça semble extrapolable à un grand nombre d'organisme), ce n'est donc pas tellement majoritaire.Jardimanche a écrit :Donc elles sont majoritairement transmise à la descendance... En grande partie du moins due à des phénomène que l'on ne connait pas! Après c'est compliqué de parler de l'épigénome vu tous ce qu'il comprend...
Je reste persuadé qu'il y a bien une plus forte ressemblance de la descendance avec les individus servant de mère. Et selon moi c'est bien que dans la plupart des cas (peu être celui de certains Drosera) la femelle cède plus de matériel génétique à sa génération F1 que le mâle (en plus de lui céder son cytoplasme et ses organites intracellulaire)! Rien que le fait que c'est elle qui porte les embryons jusqu'à leur maturation devrait te convaincre!
Tu plaisantes? J'adore cela !kisscool-38 a écrit :J'espère que tu ne le prends pas mal Nico